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La Déesse - de Satyajit Ray
Détails
Description
"Si on aime Ray, c'est pour toujours. Une histoire simple et morale, des acteurs magnifiques et tout l'univers de Satyajit Ray pour La Déesse, une splendeur. " (Libération)
Le Bengale rural au début du 19ème siècle. Kalikinkar Roy, propriétaire terrien, est un homme profondément religieux, dévoué à la déesse Kali. Il a deux fils. L'aîné, Taraprasad, velléitaire, soumis à son père, est anxieux de perdre son héritage. Le fils cadet, Umaprasad, étudiant à l'université de Calcutta, désapprouve la ferveur religieuse de son père qu'il estime superstitieuse et rétrograde. Sa jeune épouse, Doya, est la favorite du vieux Kalikinkar. Une nuit, ce dernier rêve que Doya est la réincarnation de la déesse Kali, et il proclame en public sa révélation. Après qu'un enfant ait été miraculeusement guéri, Doya devient l'objet d'un véritable culte...
"Même dans La complainte du sentier ou Le monde d'Apu, jamais Satyajit Ray ne s'est élevé si haut dans son art. Le rythme, lent et tendu, le contrepoint des images et du son, les cadrages rigoureux, la direction prodigieuse des acteurs, tout cela s'équilibre avec une rare perfection. Aucun des grands cinéastes vivants, sinon Robert Bresson ou jadis Dreyer n'atteignirent à cette pureté dépouillée... Tagore fut le premier indien à recevoir un Prix Nobel de Littérature. S'il existait un Prix Nobel du Cinéma, animé d'un esprit vraiment international, il faudrait un jour y poser la candidature de Satyajit Ray, gloire du cinéma mondial." (Les Lettres Françaises - 1962)
"La Déesse ne s'attaque pas à la religion mais à son mauvais usage, aux superstitions qui vont contre l'épanouissement de la vie et de la liberté de l'individu. Aussi le film de Satyajit Ray n'a-t-il rien d'un brûlot : il coule doucement comme le Gange - comme Le Fleuve de Renoir - charriant bonheur et tristesse, la vie et la mort." (Télérama)
"Il y a quelque chose d'envoûtant dans le style de Satyajit Ray, dans ce mélange de hiératisme et de tendresse, de lenteur majestueuse et de familiarité. L'art avec lequel il exprime la détresse d'un visage humain est constamment admirable." (Le Monde)
INDE (Bengale) - 1960 – Chapitrage - Durée: 94 mn
Langue : Bengali - Sous-titres: Français
Noir et Blanc - Format : 1’33 - PAL - Bonus : Livret Critiques
Dès 14 ans